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 Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing

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Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  Vide
MessageSujet: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:10




♣ Jezabel « Jazz » Lemon♣



Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  14



Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  23-1e62713
Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  26-1e62739


    votre nom -
    Lemon.
    vos prénoms -
    Jezabel, Sebastian
    votre âge -
    23 ans
    votre nationalité -
    Anglais
    vos origines -
    Anglaise
    votre date de naissance -
    27 Décembre 1987
    votre lieu de naissance -
    Londres
    votre profession -
    Batteur, guitariste, auteur compositeur
    votre état civil -
    Célibataire, officieusement en couple
    votre groupe -
    here to play music



♣ Neutron Star Collition

Jeanne Lebrun était une ancienne institutrice, à le retraite depuis une vingtaine d'année, elle se rendait utile en s'occupant des enfants de l'immeuble dans lequel elle s'était installée à la fin de sa carrière. Elle avait passé toute sa vie à s'occuper des enfants des autres aussi semblait-il étrange qu'elle n'en eut pas eut assez des cris, des couches sales, des blessures et des chagrins mais non, Jeanne était de ces femmes qui s'étaient dévouées toute leur vie aux autres, jusqu'a en négliger leur vie. Elle était et avait toujours vécut seule, sa vie c'était les enfants. Aujourd'hui n'était pas une journée de garde comme les autres, aujourd'hui la tristesse et la douleur imprégnait les murs de l'appartement, rendant difficile de rester dans le logement. Elle s'était habillé de noir même si elle savait qu'elle ne sortirait pas de la chambre de l'enfant. Elle berçait le petit bout de chou qui s'époumonait entre ses bras tandis qu'au salon des dizaines de personnes soutenaient la veuve éplorée qui tentait de se remettre du choc de la perte de son mari. Aujourd'hui, on enterrait Edward Lemon. Jeanne Lebrun avait fait la connaissance d'Edward et d'Eleanor peut après que les jeunes gens se soit installés dans leur appartement, un couple qui s'était marié par convenance lorsqu'elle était tombée enceinte par accident. Edward s'était suicidé alors que son fils allait avoir six mois. Trois jours plutôt dans ce même appartement alors qu'il avait la charge de son enfant le temps pour Eleanor de faire des courses, Edward s'était pendu. Jeanne avait toujours su qu'il ne saurait pas un père digne de ce nom dès qu'ils étaient revenus de la maternité. Il était trop jeune et trop instable, elle désirait garder le petit et l'élever, lui n'aspirait qu’à sortir et à vivre. Trop différents ils s'étaient mariés parce qu'elle ne pouvait pas avoir un enfant sans qu'il ait de père. Mais une fois l'enfant sortit du ventre de sa mère... Depuis la naissance le couple se déchirait, ce qui était on ne peut plus prévisible. Ils étaient jeunes et Edward n'avait épousé la jeune femme que pour éviter de se faire tuer par son père. Avec l'arrivée de Jezabel les choses s'étaient dégradées très rapidement, Edward étouffait, tensions, disputes régnaient sous leur toit. Lorsqu'un matin elle avait aperçut Eleanor la bouche congestionnée et les yeux rouges elle avait comprit que ce n'était plus qu'une question de temps. Elle n'aurait jamais pensé cependant qu'Edward se suiciderait. Il était lâche, mais pas à ce point. Berçant le petit plus doucement contre sa poitrine la vieille femme se demanda ce qui avait poussé cet homme à se tuer plutôt qu'a faire sa valise et à claquer la porte. Peut être avait-il honte du monstre qu'il était devenu, il avait levé la main sur une femme, ce n'était pas rien. On ne le serrait jamais, il n’avait laissé ni lettre, ni message. Rien que des non dits et des silences. Deux coups discrets à la porte la firent sursautée, Eleanor Billings épouse Lemon se glissa doucement dans la pièce et referma la porte sur elle. Ses yeux étaient rouges d'avoir trop pleuré. Jeanne savait que la jeune femme avait aimé Edward et sa peine lui rongeait le cœur, elle compatissait à sa douleur en se demandant ce qui poussait une femme à rester avec un homme qui ne l'aimait pas et la battait. Elle méritait tellement mieux. Le petit méritait mieux.

« Il s'est endormit » Lui apprit doucement l'institutrice en déposant l'enfant dans son berceau. Ses genoux la firent souffrirent lorsqu'elle quitta le fauteuil a bascule pour le déposer dans son lit. Il ne se réveilla pas. Eleanor la rejoint près du berceau et posa sa main sur celle de Jeanne.

« Jeanne... Il faut que vous me promettiez quelque chose. » Lui souffla Eleanor en essuyant ses yeux.

« Bien sur ma grande, tout ce que tu voudras. »

« Il ne faudra jamais lui dire qui était vraiment son père... »
La vie de Jazz avait ainsi commencé, sur un mensonge.

[…]

La main se leva, instinctivement il chercha à l’éviter mais il savait qu’il ne pourrait pas fuir, ses jambes refusaient de bouger, sa mère assistait à la scène témoin impuissant dont la lèvre éclatée répandait son sang sur le sol. Jezabel se recroquevilla lorsque le coup l’atteignit en plein ventre. Il s’écroula au sol, ses mains se crispèrent autour de son torse, essayant d’empêcher la douleur de se répandre dans son corps, mais il était trop tard. La blessure dont il souffrait était à la fois physique et mentale. Comment avait il put en arriver là ? Comment avait il put en arriver là ? Comment ? Comment ? Comment ? Jezabel n’en avait aucune idée, c’était arrivé si vite que même maintenant il ne savait comment cela s’était produit. Tout ce qu’il savait c’était qu’il devait se relever et encaisser, voila ce qu’il devait faire, encaissé jusqu'à ce qu’il se lasse. Voila ce qu’il se répéta jusqu'à ce qu’il arrive à se redresser et à défier Paul du regard. Jezabel avait tout juste 13 ans, Paul en avait 44, Jezabel pesait 55 kilos tout mouillé, Paul 93, la comparaison ne se soutenait pas. Paul avait le dessus, et ils le savaient tout les deux. Jezabel se rappelait encore sa rencontre avec l’homme qui allait devenir son bourreau. Cela faisait bientôt 10 ans que son père était mort lorsque sa mère avait recommencé à sortir, à vouloir faire des rencontres. Quelques semaines après, Jezabel avait vu sa mère sourire de nouveau, et il avait ressentit un pincement de jalousie dans son cœur, mais, elle méritait le bonheur. Elle s’absentait le soir et ne rentrait que très tard dans la nuit. Il ne disait rien, il avait à peine treize ans, que pouvait-il dire ? Ce n'était qu'un petit ami de passage après tout. Il ne se doutait pas que tout irait aussi vite. Et qu'il ne supporterait pas de la voir avec un autre homme. Peut être avait-il sentit ce soir là que cet homme était malsain, mauvais, peut être. Ou peut être était-il simplement incapable de laisser sa mère à un autre. Il n'avait soudainement plus supporté de voir sa mère avec un autre homme que son père lorsque tout s'était accéléré. Un soir sa mères l'emmena tous au restaurant, c’est là que Jezabel avait vu Paul pour la première fois, il lui avait sourit, il avait sentit la main de sa mère serrer la sienne. Plus Jezabel s'approchait plus le malaise grandissait en lui. Un sentiment étrange mêlant jalousie et instinct. Le soir même sa mère lui apprenait que Paul s'installait avec eux dans le même appartement qu'ils avaient toujours partagés tout les deux. C'était à cette époque qu’Jezabel s'était transformé. Il était devenu plus froid, jaloux, colérique, et très protecteur avec sa mère, il ne supportait pas de la voir avec cet homme, il ne supportait pas de voir Paul dans leur appartement. Il ne supportait plus rien. Ses notes avaient commencés à chutées, et sa colère allait en grandissant. Les confrontations avec Paul et sa mère étaient quotidiennes. Le malaise était profond et le contact entre le fils et sa mère se perdait. Lorsqu'ils avaient annoncés leur mariage Jezabel s'était braqué, il avait refusé de s'impliquer, arguant qu'un mariage après seulement trois mois ensembles s'était trop rapide. Tout allait trop vite, tout arrivait trop tôt. Il perdait tous ses repères. Lui le grand cerveau qui justement avait besoin de stabilité. Il était trop intelligent et se rassurait par des rituels. Il avait besoin de temps pour s'acclimater, mais on ne lui en avait pas donné. Ce remariage rendait pourtant tellement heureuse sa mère... Tout allait si bien entre eux si on exceptait le cas Jezabel . Jusqu'a ce que Paul perde son emploi. L'alcool rend fou la plus part des hommes. Tout avait commencé deux mois après le remariage de sa mère. Il l'avait giflé un soir au diner alors qu'elle avait renversé sa bière, les disputes avaient commencés entre le couple et Jezabel n'en était devenu que plus insolant et que plus agressif avec le nouveau mari de sa mère parce qu'il voulait la protéger. Elle avait affirmé que tout allait bien qu'il ne devait pas s'en mêler, que Paul traversait une mauvaise passe. Il n'en avait été que plus violent, plus agressif avec Paul, cherchant inconsciemment à prendre à sa place... Et Paul avait finit par craquer. Ce soir là. Un mot de trop et la fureur de Paul avait explosée. Le premier coup de poing avait cueillit Jezabel sous le menton, le laissant sonné sur le sol et lui arrachant un cri. Paul allait le frapper de nouveau lorsque la voix de sa mère retentit au dessus de lui. Jezabel leva le poing et frappa alors que sa mère criait.

« Jezabel non ! »

Elle avait descendu les escaliers en courant, notant rapidement la situation de son fils, elle ne s’interposa pas entre Jezabel et Paul, elle ne réagit pas alors que son mari battit son fils. La claque de Paul fit éclater sa lèvre et l’envoya rouler plus loin. Elle lassait son fils endossé des responsabilités qui étaient trop lourde pour un enfant de son âge, il était près à se sacrifier pour sa famille. Combien de temps dura l'affrontement ? Une dizaine de minutes qui lui parurent des heures et lorsque Paul fut sure que Jezabel avait comprit qui était le plus fort il lui tourna le dos, attrapant Eleanor par la taille il l'entraina à l'étage. Sa mère ne se retourna pas. Elle ne le regarda pas. Comme si Jezabel avait eut ce qu'il méritait. Cette nuit là, Jezabel décida de tout quitter. Cette maison, sa mère, son beau père. Il fuyait pour oublier que face à l'amour qu'elle portait à un homme le lien viscéral entre la mère et son fils s'était effacé. Il était seul maintenant.

[…]

Ses pieds nus battaient le pavé au rythme de ses longues et puissantes foulées, il se sentait faible. Il tentait de chasser la douleur de son esprit, la douleur aussi bien physique que psychologique, il saignait, ses lèvres éclatées déversaient un goût de rouille dans sa bouche. Il n'arrivait pas à effacer la vision de sa mère lui tournant le dos. Alors il courrait, pied nues sur l'asphalte. Ses pieds meurtris par une course sur le béton du trottoir lui demandaient grâce, mais il ne lui restait que quelques mètres à faire pour entrer dans ce quartier malfamé, celui où l'on pouvait disparaitre à tout jamais. Plus que quelques mètres. Il savait que la vie serrait dure, il savait qu’il perdrait tout repère mais mieux valait être seul que mal accompagnée mieux valait vivre sans rien que compter sur quelqu'un. Seuls les plus forts survivaient. Il était forte. Il savait qu'il aurait des sacrifices à faire, qu'il ferrait des choses qu'il n'aurait jamais pensé faire. La vie serait rude, le confort disparaitrait, il ferrait froid, il aurait faim, il vivrait surement moins longtemps mais ce n'était pas grave. Il ressentait dans tout son corps l'appel de la rue. Il avait besoin de ça. De se marginaliser jusqu'au bout. D'assumer sa différence plus encore. Il voulait découvrir un nouveau monde. Il voulait recréer sa famille. Ce serait dur. Mais il y arriverait. Son seul bien serait cette guitare qui battait son flanc au moindre de ses pas. Il n'avait pas besoin d'une mère, d'un beau père et d'un toit. Il y arriverait, Il avait son corps, son esprit d'adolescent de 14 ans, il paraissait plus âgé. Il y arriverait. Il vivrait de musique, il ferrait la manche de le métro, il se tirait de cette ville. il referait sa vie.

[…]

Jezabel se réveilla un peu groggy sur le sol bétonné de l'entrepôt qu'ils avaient squatté cette nuit. Le monde semblait tourné autour de lui, c’était de plus en plus fréquent à chacun de ses réveils, le monde tanguait et lui donnait mal au cœur, il se redressa doucement sur son matelas de fortune constitué d'une couverture de l'armé et d'un tapis de gym usagé. Il prit le temps avant de redresser sur ses pieds. Il chancela, la fièvre ravageait son esprit depuis plusieurs jours maintenant. L’hiver était si rigoureux. Son premier hiver dans la rue. Il avait tenue plus longtemps que les autres nouveaux mais la grippe l'avait pris par surprise et depuis deux jours il alternait entre moments de délires et phases d'éveil. Il se levait pour ne pas mourir de froid. Et pour manger mais il n'allait pas fort. Il avait l'impression de se réveiller après un shoot pourtant il n'avait rien prit depuis des semaines. Il trouva dans sa poche une cigarette rescapée, il l'alluma les mains tremblantes. Soudainement ses jambes se dérobèrent et il retomba lourdement sur le matelas. La cigarette lui échappa et roula jusqu'a une paire de converse trouée. C'était tout ce qu’il voyait de la personne se trouvant devant lui. Ses yeux papillonnèrent quand une main fraiche se posa sur son front.

« Ca va aller. Je m’occupe de toi. » Murmura le quadragénaire en se penchant sur lui pour remonter la couverture sur son corps frissonnant. « Dors. »

[…]

Pourquoi il s’était occupé de lui cette nuit là, il ne l’avait jamais su. Alexander était un homme qui avait vécut toute sa vie dans la rue. Avait-il vu en lui l’écho à sa propre souffrance ? Avait-il vu en lui un lointain fragment de sa propre vie ? Il ne le saurait jamais. Il avait été un mentor pour lui, une sorte d'ange gardien. Il avait été son repère, sa constante dans ce monde. Il avait été le premier a écouté sa musique et à l'encourager à se sortir de cette merde. Ils avaient passés deux années ensemble, c’était Alex qui avait tout apprit à Jazz de la musique, qui lui avait fait découvrir un autre univers musical loin de la guitare classique. Le bon vieux rock. Deux mois plus tard une pneumonie emportait cet homme de 55 ans qui avait été un père, un mentor, et un professeur pour lui. Il n'avait jamais été plus seul qu'après cela. Lui qui ne faisait confiance à personne ne s'est pas encore remis de cette disparition. Paul, Alexander... Il était parti pour exhausser le dernier souhait de cet homme. Il avait atterrit à Londres par hasard. C'était l'endroit le plus éloigné de chez lui qu'on pouvait rejoindre par bus. Il n'était jamais repartit. Trouvant un job de serveur le temps de vivre de sa musique. Se produisant sur la scène locale. Faisant fit des avis sur son look, les rumeurs sur son passé. Il les avait rencontrés par hasard. Eux. Ces quatre meilleurs amis, ses compagnons d’infortunes, son Rock Band !

[…]

Ce n’était pas dans ses habitudes de courir après une fille, d’ordinaire s’était plutôt les filles qui courraient après lui en fait. Quoi ?! Il allait avoir vingt et un ans, cinq ans de vie dans la rue n'avait en rien abimées la beauté de ses traits, et n'avaient fait qu'affuter son charme et l'aura fascinante autour de lui. Il était un jeune homme en vue, prisé dans son groupe, toutes les filles semblaient lui trouver quelque chose à la sortie de scène, éprouver quelque chose pour lui toutes les filles sauf une, Dree. La seule fille qui jusque là m’avait résistée, sa meilleure amie et bien plus. Elle était belle mais pas d'une de ses beautés que l'on trouve dans les magasines, elle avait un charme fou, un visage aux traits peu ordinaires. Elle restait fraiche malgré les horreurs qu'elle avait pu voir, parce qu’il lisait dans ses yeux qu’elle en avait vu. Elle était la seule à ne pas manifester autre chose que de l'amitié à son égard, et lui bien sur ne voulait qu'elle. Il ne voulait pas tout gâcher entre eux, mais surtout il avait peur de la réaction qu'elle aurait, il n'avait aucune envie d'être humilié et rejeté à nouveau par une femme qu'il aimait inconditionnellement. Pourtant, sur le perron menant à leur appartement il était là à l'attendre. Comme toujours. Mais, lorsqu'elle apparut au coin de la rue elle n'était pas seule et semblait surprise de le trouver ici.

« Qu’est ce que tu fiches ici ?! »
« Sympa l’accueil, je vois que je dérange, je repasserais plus tard, je t'attendais, j'ai zappé mes clés »
« Attends … »
« Je repasserais je te dis, amuse toi bien. »
La remarque était amère mais bon il n’avait pas pu s’empêcher. Elle le rattrapa alors qu'il tournait au coin de la rue. Elle le força à se retourner à lui faire face.
« C’était quoi ça ? »
« Quoi "ça" ? »
Répliqua t-il aussitôt sur la défensive, il détestait parler de ce qu'il ressentait, la voir avec un autre avait réveillé un monstre vicieux en lui qui griffait ses entrailles avec violence.
« Ca, ta crise de jalousie ridicule ! »
« Je ne suis pas jaloux ! »
Maugréa t-il en voulant s’éloigner mais elle l’avait attrapé le poignet avant même qu'il eut pu aire un geste.
« Alors c’était quoi ? L’instinct protecteur ? Je n’ai pas besoin d'un frère ! »
« Je ne suis pas ton frère, ni ton père, tu fais bien ce que tu veux de ton cul ! »


La gifle le surprit, alors qu’elle levait à nouveau la main, il l'attrapa par la taille et l’attira étroitement contre lui l’empêchant de recommencer.

« Ca devient une sale habitude ! »
« Lâche-moi ! »
« Tu sais que t’es vraiment une chieuse de première. »
Lâcha t-il avant de s’emparer de ses lèvres.



♣ Dancing with Myself

Il considère ce festival comme la chance de sa vie. Car il croit en le groupe auquel il appartient, il est persuadé qu’ils peuvent devenir des grands. Il souhaite aussi ternir la promesse faite à Alexander, il veut que sa musique, il compose nombre des paroles du groupe, parle à quelqu’un, serve à quelqu’un. S’il ne parle que très peu de son passé au reste de la bande, restant très évasif sur son adolescence, ses paroles profondes et émouvantes tranches avec la réputation de séducteur qui s’est formée autour de lui. Il n’est pas là pour s’amuser mais pour travailler. Et si accessoirement il arrivait à vaincre sa peur phobique de l’engagement permanant auprès d’une femme, s’il arrivait a trouver la force de se dévoiler aux yeux des autres en tant que petit ami de Dree alors ce serait le pied. Parce qu’il a conscience qu’a force de la repousser il va finir par faire imploser le groupe. Femme blessée attention danger ! Il a besoin d’elle. Sa muse, son anti dépresseur, sa coke personnelle. Pourtant il est incapable de lui avouer l’aimer devant le reste de la planète. Tenue dans le secret de son passé elle ne peut pas deviner ce qui le retient. Pourtant il pourrait puiser la solution à ce problème dans ses sources inspirations, Rolling Stones, Beatles, Muse, Telephone, U2, tous on chantés l'amour. Et quoi de mieux pour se déclarer qu'une belle chanson qu'il composerait à la gratte ou sur sa batterie ?


Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  2wp860j


    votre prénom -
    Pauline.
    votre pseudo -
    Pow
    votre âge -
    20 ans
    votre nationalité -
    Italienne et française
    votre activité -
    5/7
    votre niveau -
    Plus de 400 lignes
    comment êtes vous arrivé ici? -
    PRD
    votre avis sur WBTM -
    J'aime le concept
    votre dernier mot -
    Aimez moi
    les crédits de la fiche -
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:12

    BIENVENUE.
    Iaan <3
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:13

    bienvenue :5: :21:
    je suis contente j'ai mon chéri ça y est x) je l'aurais pas attendu bien longtemps ^^
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:15

    Merci les filles ! Ma fiche de présentation est terminée !
    J'ai juste une remarque sur le codage du forum, sur IE, le cadre de l'avatar est plus petit que 200px et le pseudo y est collé, ce n'est pas tres pratique ca déforme les pages ^^
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:18

    BIENVENUE :5:
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:19

Bienvenue sur le forum :5:
Je verrais ça avec nadège pour le codage (;
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:19

dp; je laisse nadège te valider comme tu es son scènario & que je ne sais pas trop ce qu'elle attend du personnage :5:
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:43

Pas de soucis, j'ai les codes sinons pour certain, et je peux modifier le template au pire, ca me prends cinq secondes j'ai l'habitude ^^
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:44

    je viens de lire ton histoire j'aime (aa)
    surtout la fin Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:50

Tu m'étonnes John ^^
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 19:53

    ct'expression! x) je connaissais pas celle là tiens ^^
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 20:04

Copyright personnel xD
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 20:06

    mdrrr. faut que je m'en souvienne que je l'utilise x)
    j'oublierais pas de te créditer :12:
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Lorenna Barattieri
Lorenna Barattieri
LORENNA ◭ come on, skinny love

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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  EmptyDim 8 Aoû - 20:54

cawabouyaa :5:
bienvenue sur le forum, merci d'avoir pris mon scéna :18:
ta présentation rocks tout, alors je te valide :12:
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MessageSujet: Re: Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing    Jazz ♥ i've got a feeling with everybody who wear nothing  Empty

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