❝JAZZ❞ une aspirine venant soulager mon affreux mal de l'être.

jazz micky verdura

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I'MMA TRY TO SWIM FOR
SOMETHING BIGGER THAN ME.

nom complet: jazz micky verdura. › surnoms: j. prononcé « jay », zikky « jazz et micky » contracté. › âge: dix-neuf ans. › date de naissance: 23 février 1993. › lieu de naissance: azerbaïdjan (histoire s'en suit). › origines: arménienne, italienne. › situation familiale: fille unique. › situation civile: célibataire. › métier: votre réponse ici. › situation financière: aisée. › plus grand rêve: enregistrer un morceau avec « tyler, the creator ». › plus grande peur: je n'ai peur de rien, je suis une warrior, moi. (a) › groupe: music is all we need. › avatar: nina dobrev.

pourquoi es-tu au festival de musique de Hillswood ? afin de faire part de ma musique aux spectateurs du monde entier et bien évidemment de malte. › Et tu en pense quoi ? le trac. c'est horrible de s'imaginer devant de milliers de personnes à chanter ses morceaux préférés ou ses propres compositions tout en ignorant le visage des gens qui nous fixent. je pense créer des projecteurs moins puissants afin que mon public me soit accessible visuellement. je ne suis pas peureuse, moi, j'affronte tout, hormis l'humiliation. › L'île, tu la trouves comment ? parfaite, il n'y a rien de plus beau. cela change de mon pays natal. par contre, j'y ai bien évidemment trouvé un défaut; son climat insupportable en été. je préfère l'hiver, le froid, les mains gelées et les joues roses. ›

dirty little confessions

PAGE DE JOURNAL, 19 décembre 2011 ∆ personnel. “Si je me mettais à m’ouvrir au monde, les gens auraient pensé que j’étais une fille facile, extravertie, ouverte, sociable. Je ne me suis jamais intéressée à des personnes avec ce caractère-la, alors je ne voulais pas devenir quelqu’un comme ça. J’ai préféré resté HUMBLE, et extrêmement discrète. Une montagne de monde a cherché à passer la carapace que je me suis formée pendant toute mon adolescence, mais c’était trop difficile. C’est plus facile pour moi si les gens n’arrivent pas à savoir à quoi je pense, que ce soit à Rome, Milan, Azerbaïdjan ou Malte.”

TEMOIGNAGE DE GALICIA B. ROSSI ∆ divine. “Quand j’ai rencontré Jazz, je savais que ce ne serait pas facile de rentrer dans son monde. En vérité, elle est totalement AILLEURS constamment. Nous nous sommes rencontrées al « Conservatorio di Musica S. Cecilia ». Elle y entrait à dix-sept ans, j’en avais deux de plus. Dieu sait combien elle a toujours été PASSIONNÉE de musique, de son, de paroles, de mélodies. Elle ne sait pas jouer d’un instrument, et aussi fou que ça peut paraître, elle ne s’y intéresse pas. Jazz portait bien son prénom, elle était une invétérée de ce style de musique. Ses parents n’étaient pas spécialement dans ce monde, mais ils ont toujours laissé le choix à leur fille de faire ce qu’elle désirait plus tard.
Un jour, je me suis rendue dans son immense demeure. Quand je dis immense, c’est pour ne pas exagérée, car sa maison ressemblait plus à un château qu’autre chose. Elle semblait vivre telle une princesse sur un trône décoré d’or. Elle n’a jamais manqué de rien, mais elle a toujours été DIFFÉRENTE. Elle ne m’a jamais parlé d’elle, de son passé, de sa naissance ; tout ce que je savais, c’est qu’elle avait quitté le système azerbaïdjanais pour s’installer à Rome à l’âge de cinq ans. Son père est italien et sa mère arménienne. C’est tout ce que je sais à propos d’elle. Et puis, pour être sincère, vous pourriez poser la question à tout le conservatoire, personne ne sait ce que cette fille était avant d’arriver ici. Au fond, c’est peut-être mieux comme ça.
Je me souviens de la soirée de mon anniversaire pour mes vingt ans. Elle n’avait pas encore atteint la majorité, alors c’était la seule à ne pas pouvoir rentrer dans ce bar, l’Armony Club, un endroit érotique qui m’avait toujours plu. Elle, par contre, c’était tout le contraire, elle se cachait bien de nous faire part de ses ébats sexuels. Je ne suis même pas sûre qu’elle ait déjà fait quelque chose, soit, cela ne regarde qu’elle et son soi-disant copain de Milan, bien évidemment. En effet, elle n’était que rarement là, et même au Conservatoire, c’était difficile de la trouver : elle a toujours été très DISCRÈTE, très VOLAGE, ne voulant rendre de compte à personne
Pour en revenir à cette histoire de club, elle a pu y rentrer en glissant quelques mots doux à l’oreille du videur, ce qui m’avait fortement impressionné, tiens. Personne, je dis bien personne n’a jamais réussi à rentrer là-dedans sans avoir minimum dix-huit ans. Cette fille a des YEUX DOUX et un pouvoir de PERSUASION immense. ”

TEMOIGNAGE DE MILAN T. ARDOGHANN ∆ instable. “Je n’ai jamais eu une personne de mon entourage aussi LOUCHE que Jazz. Comment peux-tu t’appeler comme un style de musique, en plus ? J’ai tenté de devenir son amie pendant sa scolarité au conservatoire mais rien n’y faisait. Je pense qu’elle n’a jamais voulu se MÉLANGER. Elle ne trainait avec Galicia seulement quand ça l’arrangeait. J’ai voulu faire sa connaissance, apprendre à la connaître, mais elle s’est toujours RENFERMÉE sur elle-même, comme si elle ne voulait pas qu’on apprenne quelque chose sur elle. Soit elle était toxicomane, soit elle avait vraiment un problème d’INSOCIABILITÉ. Je la voyais rire, quelques fois, avec des filles plutôt populaires du conservatoire. Au fond, je me suis dit que c’était normal qu’elle soit un minimum bien entourée, c’était pire qu’une héritière. RICHE jusqu’aux dents, je vous jure. N’empêche qu’elle a toujours réussi à rester SIMPLE et DISCRÈTE. Tout le monde lui courrait toujours après.
Après son départ pour Malte, quand elle a décidé de viser plus haut qu’un conservatoire, les étudiants de Rome n’ont pas cessé de parler d’elle et de regretter de ne pas avoir pu faire amples connaissances avec elle. Mais si vous leur demandez, je vous assure qu’il n’y en a pas un seul qui la connaissait vraiment.”

TEMOIGNAGE DE ÏEL J. KEHDESKA ∆ tendre. “Pour être sincère, quand je l’ai rencontré à Milan, je ne savais pas ce qui m’attendait. Elle passait souvent par ici pour faire du shopping et chanter ses chansons dans le bar Blue Note. Elle n’était jamais seule, bien souvent aux bras de sa cousine Keyanne qui lui ressemblait beaucoup. Quand je l’ai abordé pour la première fois, elle m’a recalé. La deuxième, puis la troisième fois aussi jusqu’au moment où elle acceptait de boire un verre avec moi. C’était un jeudi soir, pendant le pont de l’ascension, l’année dernière. J’étais venue pour la huitième fois l’écouter dans ce jazz-bar, elle CHANTAIT divinement bien. J’ai craqué au moment où elle s’est mis à chanter turning tables, tout d’un cliché, je vous jure.
Elle portait une jupe montante, dorée, avec un débardeur blanc et des petites chaussures blanches. Je suis littéralement tombé amoureux elle. Elle chantait cette chanson après la mort de son oncle dont elle était très proche. Ca a toujours été quelqu’un de FORT qui ne pleurait jamais, elle ne se laissait jamais submerger par les sentiments.
Elle acceptait ma proposition de boire un verre après qu’elle ait remarqué mes soi-disant yeux brillants à la fin de sa chanson. Elle a dû me vanner plusieurs fois là-dessus pendant toute notre relation. C’est quelqu’un de plutôt BRILLANT, qui ne se laisse pas faire, qui a un HUMOUR quasi moisi, mais ça en devient mignon à force.
On s’est séparé avant son déménagement pour Malte, et sa volonté de faire de la chanson, ou plutôt, d’interpréter ses propres chansons et de signer un contrat. ”

behind the screen

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pseudo : eyna › prénom : hana › fille ou garçon : ♀› t'habites où ? : suisse › le forum, tu le trouves comment ? : trop beau, ouai. › comment t'es arrivé jusqu'ici ? : pub rpg design › double compte ? : non › avatar : nina dobrev ♥ › un dernier mot ? : premier rp depuis quelques années !